25 janvier 2013
Grand-mère
J'ai souvenir encore du parfum de lilas
Odeur que dégageait la maison en ta présence
J'ai perdu le fil du temps
Déjà quatre ans
La douleur indescriptible
Laisse une marque indélébile
Ma vie de conte de fée
Reste une oeuvre inachevée
Un coeur brisé
Sans aile pour voler
Sans rames pour naviguer
Sans port pour s'ammarer
Un pauvre petit coeur blessé
Personne pour l'apaiser
Ni âme pour l'encourager
Ou d'être pour l'aider
Une toile d'araignée tresser
Auquel je m'ai accroché
Et puis un jour tu disparait
Sans laissé corde ou ancre
Pour que le jour où je m'aurait tait
Je tire la corde de ta barque
Pour que tu me rammène à toi
Même si maintenant tu veille sur moi
Composer le 14 septembre 2008
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